Unités françaises 2/2

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L'Escadron de détection et de contrôle aéroportés 00.036     Le Groupe de Ravitaillement en Vol 00.093 "Bretagne" 
    L'Escadron d'hélicoptères 01.067 "PYRENEES"       L'Escadron de Défense Sol Air 05.950
         

 
    Le 5ème régiment d'hélicoptères de combat      
Le 402ème Régiment d'Artillerie  

 Le 54ème Régiment d'Artillerie



 La Flotille F21                            
                        




Le Groupe de Ravitaillement en Vol  00.093 "Bretagne"


Historique

Issu du détachement des forces aériennes du Tchad, le groupe des forces aériennes françaises libres « Bretagne » est crée le 1er janvier 1942.

La 90ème Escadre de ravitaillement en vol est créée le 1er août 63. Le 26 septembre 1964, les 12 C135FR arrivent en France dans l'armée de l'Air, et la première alerte opérationnelle est tenue le 22 octobre.

Le 1er septembre 2004, l'ERV devient le Groupe de Ravitaillement en Vol  00.093 « Bretagne ».
Titulaire de 6 citations, le « Bretagne » s’est vu attribuer la fourragère aux couleurs de la croix de guerre et de la Légion d’Honneur.


Les missions principales

Les Bœing C135 sont un maillon essentiel à l’exécution de la mission nucléaire confiée à la composante pilotée des Forces aériennes stratégiques. La mission principale de cette unité aérienne s’inscrit dans le soutien ravitaillement en vol et transmissions des Mirages 2000N des F.A.S.

L’activité aérienne, assurée H24 durant 95 % de l’année et dont la moitié est effectuée en dehors du territoire métropolitain, est réalisée dans le cadre des nombreuses missions conventionnelles confiées à l’unité. L’exécution de ce large éventail de missions ne serait pas envisageable sans le soutien technique assuré par les 370 personnes de l’Escadron de Soutien Technique Spécialisé E.S.T.S. 15.093 également basé à Istres, à travers les niveaux techniques d’intervention NTI 1 et 2. Le NTI  3 sera quant à lui dévolu à la société Sabena technics sur le site de Nîmes à compter du 1er juin 2008.

Le GRV 00.093 « Bretagne » est ainsi impliqué en permanence dans la quasi-totalité des missions de l’armée de l’Air.

Les missions secondaires du GRV sont les suivantes :

Le soutien ravitaillement des :
- avions de combat de la Force aérienne de combat,
- AWACS français et OTAN,
- avions de l’aéronavale,
- avions des armées étrangères dans le cadre d’accords de défense et d’arrangements techniques, notamment le protocole ATARES.

La projection :
- de puissance : les C135 participent à toute opération ou exercice d’envergure dans lesquels une composante aérienne se trouve engagée, au travers des missions de convoyage d’avions d’armes.
 
- de force : les C135 participent également à la fonction logistique sur de longues distances, en assurant le transport d’hommes et de matériels comme cela a pu être le cas pour Hamedabad en Inde ou Darwin en Australie dans le cadre de la crise du Timor Oriental de 1999.

Issu du concept stratégique d’évacuation sanitaire, le GRV a repris à son compte, depuis le mois de juillet 2007, la mission MoRPHEE (ou Module de Réanimation pour Patient à Haute Elongation d’Evacuation). Le GRV a effectué la première mission MoRPHEE le 18 mars 2008.


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L'Escadron de Défense Sol Air 05.950 "BARROIS" 


implanté sur la Base aérienne 113 "Commandant Antoine de Saint Exupéry" de Saint Dizier, L'Escadron de Défense Sol Air 05.950 a pour missions :


Principales :
- Assure la défense anti-aérienne de la BA 113 ou de tout autre point sensible désigné par le Commandement de la Défense Aérienne et des Opérations Aériennes (CDAOA) pour le territoire métropolitain.
- Protection anti-aérienne des installations prioritaires de défense (IPD) civiles ou militaires.
- Protection de sites liés à des évènements particuliers :
       ° dispositifs particuliers de surveillance (observation, guet radar, guet à vue)
       ° dispositifs particuliers de protection (mise en place de moyens actifs d'interception)
 

de projection :
- Protection des base aérienne en théâtre d'opération.
- Protection des forces armées projetées (enceintes navales, forces terrestres...)

L'Escadron de détection et de contrôle aéroportés 00.036


Le 36ème EDCA est basé sur la base aérienne 702 d'Avord. "Capitaine  Georges MADON". Sous commandement opérationnel du chef d'état-major des armées, elle est placée sous contrôle opérationnel du CDAOA pour ses missions de temps de paix exécutées au décollage ou au dessus du territoire métropolitain. Pour toute mission exécutée dans le cadre d'une opération ou hors de la métropole, le contrôle opérationnel des appareils et équipages impliqués est délégué au commandant de théâtre, par le CO.Air sur ordre du CEMA et du CEMAA. Le commandement tactique est alors assuré par l'autorité " air " désignée auprès du commandement du théâtre, et sous contrôle tactique du CCOAT.

Le 36ème EDCA a pour mission principale la mise en œuvre des 4 Boeing E-3F SDCA (système de détection et de commandement aéroporté).

L'unité est responsable de la formation initiale et d'entretien des personnels affectés (équipages de conduite et de mission, techniciens, informaticiens et personnels d'encadrement).

Elle assure la maintenance et le soutien technique du matériel spécialisé dont elle est dotée, ainsi que d'installations particulières d'infrastructure (systèmes de climatisation, moyens de protection et de lutte contre l'incendie, systèmes de secours pour l'alimentation électrique).

Le 36ème EDCA dispose pour l'exécution de ses missions de moyens spécialisés et techniques, de moyens en personnel (environ 450), ainsi que de l'infrastructure et d'une zone technico-opérationnelle (ZTO). Outre les quatre E-3F, l'unité dispose d'un simulateur de mission et de moyens informatiques de préparation et de soutien des missions (centre de calcul constitué du Daily Mission Support Facility (DMSF), et du Support Software Facility (SSF)).

L'E3F, appareil construit sur la base d'un Boeing 707 propulsé par quatre moteurs CFM 56 et dont l'autonomie atteint douze heures sans ravitaillement, nécessite un équipage minimum de dix huit personnes pour sa mise en oeuvre. Quatre personnes constituent l'équipage de conduite alors que les quatorze autres animent l'équipage de mission. L'E3F est en outre équipé de plusieurs systèmes de transmission de données et de dix consoles multirôles.

Les missions dévolues à l'E3F sont complexes et variées.

En effet, ses capacités de détection, notamment à basse altitude, ses possibilités de transmission de la Situation Aérienne vers le sol ou d'autres participants en mer et l'aide qu'il peut apporter dans le domaine de l'évaluation de la menace dans une zone d'intérêt lui permettent de contribuer efficacement à l'établissement de la SAG (Situation Aérienne Générale).

Dans le domaine du contrôle, il participe non seulement au support d'opérations aériennes en assurant le contrôle des moyens défensifs (CAP), offensifs (OAS, COMAO), de ravitaillement en vol, de soutien logistique ou de SAR/ CSAR, mais aussi au support d'opérations maritimes (TASMO) offensives ou défensives.

Enfin, il participe également à des opérations particulières de surveillance (en relation avec les douanes ou lors de sommets de chefs d'état par exemple), de nombreux exercices interarmées et interalliés et peut être engagé sur un théâtre d'opérations comme l'ex-Yougoslavie. Au 31 décembre 2001, le 36ème EDCA peut s'enorgueillir de plus de 9000 heures de vol en opérations en près de 1.000 sorties.

 



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L'Escadron d'hélicoptères 1/67 "PYRENEES"


Issue de la 22ème escadre d'hélicoptères, l'EH 1/67 "Pyrénées" puise ses origines dans la guerre d'Algérie. Dès la fin des opérations en 1962, les deux escadrons qui composent la 22ème escadre s'installent à Chambéry.
   - Le premier escadron, le 2/22, a un détachement permanent à Istres.
   - Le deuxième escadron, le 3/22, a un détachement à Pau.
   - Il y a également Cazaux, cédé par la 23ème escadre de Saint-Dizier.

En 1964, la 22ème escadre est dissoute et se scinde en deux escadrons autonomes :
le 1/68 à Pau et le 2/68 à Chambéry. L'EH 1/68 reprend en 1966 avec l'insigne du léopard rouge, les traditions de l'escadrille "SAL 17" (1914-18) et du GR I/14 (1939-42). Il obtient en même temps l'homologation du fanion de l'unité et le nom de tradition "Pyrénées".
En 1972, l'escadron arrive sur la base aérienne 120 de Cazaux, suite à la fermeture de la base aérienne 119 de Pau.

     En 1974, le 1/68 reçoit sa première Alouette III, quelques Alouette II et son premier Puma. Jusqu'alors, l'escadron était doté de Sikorsky H-34, appareil qui avait gagné ses lettres de noblesse en Algérie. En 1975, le H-34 s'en va, alors que l'unité adopte l'appellation d'EH 1/67 "PYRENEES". Les années 70 et 80 donnent à l'escadron de nombreuses occasions de se mettre en valeur. Que ce soit pour des sauvetages sur terre et mer ou des interventions humanitaires (plan Orsec lors des inondations dans le Gers en 1979).

     Pour donner une capacité de recherche et de sauvetage de nuit à l'EH 1/67, l'armée de l'air améliore le Puma dès 1986. Les équipements particuliers du Puma SAR autorisent les opérations au-dessus de la mer, de jour comme de nuit. Les occasions d'intervenir se multiplient donc.
      L'année 1990 voit l'arrivé du premier Fennec. Une décennie qui va préciser la mission de l'escadron commence. Lors de l'éclatement de la guerre du Golfe, l'EH 1/67 est responsable de la mise en place d'un détachement de deux Puma SAR sur la base d'Al Asha en Arabie Saoudite.

     Les équipages y prouvent leur savoir-faire, en participant au sauvetage de pilotes de chasse alliés. Les opérations de Bosnie orientent de manière définitive la vocation de l'unité. En février 1994, le "PYRENEES" installe un nouveau détachement de deux Puma SAR qui passera rapidement à trois à Brindisi en Italie. Au contact des forces spéciales américaines, ce déplacement permet de doter l'armée de l'air d'une nouvelle capacité :
la RESCO (Recherche et sauvetage au combat).
 

 

Le "PYRENEES" participe à différentes opérations comme :

    - En 1994, opération TURQUOISE au RWANDA.
    - En 1999, opération TRIDENT en Macédoine.
    - En 2003, opération MAMBA ARTEMIS en OUGANDA et CONGO.
    - En 2004, opération CARBET en HAITI.
    - En 2006, opération LICORNE en Côte d'Ivoire.

 En 2000, l'EH 1/67 devient un OVIA (Organisme à Vocation InterArmées) pour la mission Resco et accueil des personnels de la marine nationale et de l'armée de terre.

Depuis fin 2005 l'escadron a été doté du nouvel EC 725 CARACAL et sa mise en service opérationnelle à été prononcée en Mai 2006. Très rapidement il a été engagé sur un théâtre d'opération (Juillet Août 2006) pour l'opération BALISTE et l'évacuation de ressortissants du LIBAN. Peu de temps après leur retour ils sont à nouveau engagé, en AFGANHISTAN cette fois-ci au sein de l'ISAF.

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Le 54ème Régiment d'Artillerie


Le 54ème Régiment d'artillerie est créé à Lyon le premier mars 1910.

En août 1914, il quitte sa garnison et rejoint le front des Vosges. Il prend part aux combats en Picardie, en Champagne et en Alsace, puis à Verdun en 1916.
Après les combats du chemin des Dames où les pertes sont extrêmement sévères, le régiment gagne en septembre 1917 le secteur de l'Ailette où va se dérouler la grande bataille de la Malmaison.
Le régiment est cité à l'ordre de l'armée et reçoit la croix de guerre.
De décembre 1917 à mai 1918, il se distingue en Belgique, à la bataille de Kemmel et y obtient sa seconde citation.
En 1925, un groupe de 155 du 54 débarque à Casablanca et gagne Fez pour combattre. Lors de la campagne du Rif en juillet, ce détachement se distingue tout particulièrement en participant aux batailles de Ain et de Badtaza sur Oued Leben, qui sont de véritables succès.
En 1940, le 54 rejoint la région de Valenciennes. Puis c'est Dunkerque, l'Angleterre et le retour en France où il est démobilisé et dissout.
Le 63ème Régiment d'artillerie est alors créé. Il reprendra son nom en 1946.
Après plusieurs dissolutions et recréations qui verront des unités engagées sous divers numéros en Algérie, le 54ème Régiment d'artillerie est stationné à Montmedy puis s'installe à Verdun, le 1er novembre 1970.
   

La tradition sol-sol du régiment est oubliée, le 54 devient un régiment d'artillerie sol-air.
A partir de 1977, il abandonne le canon de 40 Beaufort pour le système d'armes Roland.
Le 1er juillet 1984, il rejoint Hyères et le quartier Vassoigne.
Devenu tout Mistral depuis l'abandon du système d'armes Roland, le 54e RA sera, à terme, le seul régiment d'artillerie sol-air existant, suite à la dissolution prévue des 402e et 57e RA.

D'abord sous le commandement du 3ème Corps d'armée puis de la Force d'Action Rapide, le 54e R.A. appartient depuis 1998 à la Brigade d'artillerie.
Il a participé au cours de ces dernières années à de très nombreuses missions :
- de défense sol-air, en Guyane, au profit du centre spatial de Kourou;
- de défense sol-air, à Djibouti, notamment en 1991 dans le cadre de l'opération CORYMBE;
- de souveraineté dans les territoires et départements d'outre-mer (Poynésie française, Nouvelle Calédonie, Mayotte...)

Il a également déployé plus de 360 hommes et femmes sur les théatres d'opérations extérieures que sont entre autres l'Afghanistan, les Balkans, la Côte d'Ivoire, le Liban, le Sahara Occidental.

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Le 402ème Régiment d'Artillerie



Le 402e régiment d'artillerie de défense conte aéronefs est créé le 10 avril 1923, à partir d'unités telles que le 66e RA, 67e RA, du 501e régiment d'infanterie territoriale et du 2e groupe de circulation.
L'engagement de ces unités dans la première guerre mondiale vaut aujourd'hui à l'étendard du régiment de porter dans ses plis l'inscription "grande guere 1914-1918".
Aujourd'hui, de par sa double dotation, le Mistral, le régiment participe régulièrement à différentes missions opérationnelles dans le monde, telles que la défense sol-air du site de Kourou en Guyane (Mistral) et de la zone aéroportuaire de Djibouti(Mistral), ou encore dans le cadre des nations unies au Liban, en côte d'Ivoire dans le cadre de l'opération Licorne.

 

Au titre de la formation initiale, le 402e RA est appelé à mettre des moyens Hawk à la disposition de l'école d'artillerie pour parfaire l'instruction des personnels officiers et non-officiers ; il peut être également appelé à des missions de protection aérienne de sites sensibles ou à des missions d'assistance consécutives à une catastrophe naturelle, à des projections intérieures dans le cadre des plans VIGIPIRATE ou des sections d'Honneurs.
Subordonné à la brigade d'artillerie stationnée à Haguenau, le 402e RA est désormais l'unique régiment de défense sol-air moyenne portée de l'armée de Terre. Délesté d'ici quelques années du Hawk, le relais sera assuré par le SAMP et servi par l'armée de l'Air, destinant le 402e RA à la dissolution ou à la restructuration sous une forme encore non annoncée



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Le 5ème Régiment d'Hélicoptères de Combat


Héritier des traditions du peloton d'avions d'observation de la 5e division blindée (DB), le 5e régiment d'hélicoptères de combat (RHC) détient les traditions du groupe d'hélicoptères no 2 créé à Sétif en 1955. Issu directement du groupe d'aviation légère de la 11e division parachutiste (GALDIV 11) depuis le 1er juillet 1977, il reçoit son étendard le 1er août 1980 et s'installe au quartier Chef d'Escadron de Rose le 21 septembre 1984.

   
Dès 1978, le 5e RHC fait preuve de sa capacité opérationnelle au Tchad et en Mauritanie et a participé à de nombreuses opérations humanitaires : Gers, La Réunion, Ouganda, Pyrénées-Orientales, Niger, Mauritanie et Turquie. Le 5e RHC, partie intégrante de la 4e brigade aéromobile, a participé à différentes opérations : au Tchad et Melten en Méditerranée en 1986, le Golfe Persique en 1990-1991, la Somalie en 1992-1993, le Rwanda en 1994, l'ex-Yougoslavie en 1995, le Kosovo depuis 1999, la République Démocratique du Congo en 2003 et la République de Côte d'Ivoire depuis 2002.

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Flotille F21



La Flottille 21F est l'héritière de l'escadrille 2B, créée le 25 juin 1940 à Casablanca, et alors armée de bombardiers Glenn Martin 167F. Après avoir bombardé Gibraltar le 4 juillet 1940, en représailles du « coup de Mers-El-Kébir » et du raid britannique sur Dakar, la 2B fusionne avec la flottille 3F basée à Dakar.
Ramenée au Maroc (Port Lyautey) en mai 1941, elle combat et subit de lourdes pertes, en novembre 1942, en s'opposant au débarquement allié en Afrique du Nord. Les rescapés se regroupent à Agadir et la flottille assure des missions d'escorte de convois jusqu'à sa dissolution en avril 1944. En juillet 1952, la flottille 21F, créée à Oran reprend le flambeau des 2B et 3F avec des Lancaster transformés en avions de lutte anti-sous-marine. En juillet 1953, une partie des équipages sont formés sur P2V6 Neptune et constituent la 21F. En novembre 1963, la 21F quitte l'Algérie et s'installe à Nîmes-Garons où, en 1965 et 1966, elle remplacera progressivement ses Neptune par des Atlantic. La 21F a survolé le pôle Nord pour la première fois le 25 août 1967. Elle est équipée d'Atlantique 2 depuis 1994.

 

Les missions de la flottille 21F sont très diverses, du soutien à la Force Océanique Stratégique (FOST) à la sauvegarde maritime (recherche de naufragés en mer) en passant par la lutte contre le narcotrafic. Ces dernières années, les hommes et femmes de la 21F et leurs Atlantique ont été engagés dans plusieurs opérations, dont le soutien à la lutte anti-terroristes en océan Indien (Enduring Freedom depuis 2002), l'intégration au dispositif Epervier au Tchad depuis 2005, les déploiements au large du Liban (opération Baliste) depuis 2007, la lutte contre l'orpaillage illégal en Guyane (2007-2008).

La flottille 21F est parrainée par la commune d'Elancourt (Yvelines) depuis le 17 juin 2000.


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